Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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Titre | Canzoni alla francese, volume II | |
Compositeur | Schmid le Jeune, Bernhard | |
Opus | ||
Année de composition | 1607 | |
Éditeur(s) scientifique(s) | Jean-Luc Gester | |
Éditeur | Les Cahiers du Tourdion | |
Numéro d'édition | 186 | |
Année de l'édition | 2006 | |
ISMN | deest | |
Site de l'éditeur | http://www.letourdion.fr | |
Nombre de pages | 32 dont 24 de musique | |
Date de réception au M'O | 21/01/2010 | |
Commentaire | Petit exercice d'arithmétique préliminaire: les douze Canzoni alla Francese (le groupe «VI» de la tablature de Schmid, soit les numéros 65 à 76, dont le premier fascicule est commenté sous la référence P_3594) représentent dans cette édition 23 + 24 pages de musique. Étant donné que les notes critiques prennent moins de trois pages et que l'introduction de quatre pages est la même dans les deux fascicules, et d'autre part, tenant compte du fait que le dernier volume de la série comporte 58 pages, pourquoi ne pas nous avoir présenté l'ensemble en un seul volume? Les fugues 7 à 12 (rappelons que, d'après Bernhard Schmid, ce sont les Italiens qui les baptisent Canzoni alla Francese) sont signées Antonio Mortaro, Francesco Soriano, Giacomo Brignoli et Orfeo Vecchi. Nous avons déjà observé, dans le premier fascicule, que ces pièces sont sans doute celles, de toute la tablature, qui plairont le plus aux organistes, par leur caractère proche de la polyphonie vocale des chansons, et aussi parce qu'elles sont celles qui posent le moins de problèmes à l'interprète non spécialisé dans la musique très ancienne. Elles constituent donc une excellente approche du répertoire du XVIe siècle dont elles sont issues en droite ligne. J'ai remarqué en particulier l'avant-dernière, signée Giacomo Brignoli, qui est évidemment une «Battaglia», avec ses sonneries alternées de trompettes, la traditionnelle partie ternaire, et la charge, représentée par des traits volubiles sur fond de répétitions d'octaves et d'accords plaqués. Jean-Luc Gester, qui commente le volume, évoque en passant les origines de ces douze pièces, mais ne dit rien de celle-ci, et indique que la recherche des sources, non seulement de ces fugues, mais aussi des motets, canzonettas et madrigaux, reste à faire. | |
Date du commentaire | 09/02/2010 | |
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