Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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Titre | Menuette für Orgel (Cembalo, Klavier) | |
Compositeur | Albrechtsberger, Johann Georg & Joseph Haydn | |
Opus | ||
Année de composition | ||
Éditeur(s) scientifique(s) | Rudolf Walter | |
Éditeur | Butz | |
Numéro d'édition | 2146 | |
Année de l'édition | 2008 | |
ISMN | deest | |
Site de l'éditeur | http://www.butz-verlag.de | |
Nombre de pages | 20 dont 15 de musique | |
Date de réception au M'O | 25/03/2009 | |
Commentaire | Le menuet, qui trouve sa place dans la suite (qu'elle soit instrumentale ou orchestrale), est-il vraiment une forme adaptée à l'orgue? Ces douze piécettes ne convaincront sans doute que ceux qui n'en doutaient pas. Les lecteurs du M'O+ connaissent déjà les six pièces de Joseph Haydn qui forment la deuxième partie de ce fascicule: elles proviennent des Flötenuhrstücke dont une édition simplifiée vous était présentée il y a moins de quinze jours (P_0006). Le transcripteur déclare s'être servi du volume XXI de la Gesamtausgabe der Kompositionen Joseph Haydns, publié à Munich en 1984 (ce qui répond en partie à la question posée il y a quelques jours quant à l'existence de l'édition «officielle» de cette musique). Il n'a pas jugé utile de faire dans les titres référence aux horloges mécaniques dont proviennent ces pièces, ni même de donner son titre, Der Wachtelschlag, à la quatrième. Par ailleurs, je note plusieurs variantes avec le texte de l'édition faite en 1954 par Ernst Fritz Schmid, entre autre de nombreuses coupures dans la dernière pièce. On aimerait aussi savoir pourquoi la quatrième et la cinquième sont transposées d'une quarte vers le haut, rendant encore plus aiguë cette petite musique.
Les six menuets d'Albrechtsberger (les deux compositeurs ont été amis pendant près de cinquante ans) couvrent quant à eux toute l'étendue du clavier. Ils se trouvent dans un manuscrit conservé à la bibliothèque nationale de Vienne et ceci en est la première édition. L'auteur voit dans quelques accords un peu larges, la manifestation d'une écriture pensée pour l'octave courte. Et, dans le sixième menuet, la présence répétée d'un si grave (sous la limite normale de l'orgue) serait, selon lui, une farce du compositeur. On peut aussi y voir un signe que ces pièces sont pensées pour le pianoforte. | |
Date du commentaire | 13/01/2010 | |
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