Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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Titre | Canto di forza | |
Compositeur | Vasks, Peteris | |
Opus | ||
Année de composition | 2006 | |
Éditeur(s) scientifique(s) | ||
Éditeur | Schott | |
Numéro d'édition | ED 20477 | |
Année de l'édition | 2009 | |
ISMN | 979-0-001-15405-5 | |
Site de l'éditeur | http://www.schott-music.com | |
Nombre de pages | 16 dont 10 de musique | |
Date de réception au M'O | 12/02/2010 | |
Commentaire | Reportez-vous à P_3670 pour une autre partition du même compositeur, publiée chez le même éditeur. Après trois œuvres écrites spécifiquement pour l'instrument, Cantus ad pacem (1984), Musica seria (1988) et Te Deum (1991) viennent deux transcriptions: Viatore (2001, à l'origine pour orchestre à cordes) et ce Canto di forza, composé en 2005 pour les douze violoncellistes du Berliner Philarmoniker. Je me suis assez plaint des lacunes de certaines partitions dans l'information sur le compositeur et l'œuvre pour ne pas relever que dans le cas présent, les explications (D, GB, F) concernant ce long (14 minutes, 382 mesures) crescendo sans la moindre altération, presque exclusivement composé en blanches pointées, blanches et noires, suffisent amplement: Vasks révèle au sujet de ce morceau: «La composition diatonique est constituée d'un seul mouvement. Elle débute par une partie concentrée reposant en elle-même. Deux développements ondulatoires configurent la partie centrale du morceau: le premier s'efface lentement en atteignant son apogée, tandis que le deuxième culmine par un hymne: Glorification. Des éléments du début réapparaissent avec une intensité sonore déclinante. Contrairement à beaucoup de mes compositions qui se dissolvent dans le silence, Canto di forza s'achève en un fortissimo très convaincant. Je suis persuadé que la musique contribue à l'équilibre universel.» Anonymement, le commentaire conclut: «L'adaptation pour orgue acquiert en outre de surprenantes qualités par rapport à la version originale pour violoncelles. Grâce aux registres éthérés de l'orgue, les voies «matérielles» des cordes s'envolent vers l'immatérialité en suspens, se disséminant dans des sphères lumineuses.» | |
Date du commentaire | 15/02/2010 | |
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