Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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Titre | Canzonettas et Madrigaux à 4 voix | |
Compositeur | Schmid le Jeune, Bernhard | |
Opus | ||
Année de composition | 1607 | |
Éditeur(s) scientifique(s) | Jean-Luc Gester | |
Éditeur | Les Cahiers du Tourdion | |
Numéro d'édition | 9974 | |
Année de l'édition | 1999 | |
ISMN | deest | |
Site de l'éditeur | http://www.letourdion.fr | |
Nombre de pages | 32 dont 23 de musique | |
Date de réception au M'O | 21/01/2010 | |
Commentaire | Reportez-vous à P_3594, 3636 et 3657 pour les articles déjà en ligne, concernant les premiers volumes commentés de cette série. Le troisième des sept fascicules comprend les huit premières pièces de la «catégorie V», soit les Canzonettas et Madrigaux à quatre voix numérotés de 49 à 56 dans la tablature. Les auteurs sont: Hans Leo Hassler, Roggiero Giovanello, Paolo Quagliati, Francesco Soriano, Giovanni Gabrieli, Vincenzo dal Pozzo, Cipriano di Rore et Luca Marenzio. Comme annoncé en tête du volume, certaines transcriptions sont le résultat du travail des étudiants en Maîtrise de musicologie de l'Université de Reims Champagne-Ardenne. C'est ici le cas pour sept des huit pièces. Il n'y a certainement pas de relation de cause à effet, mais j'ai relevé quelques petites erreurs dans le commentaire critique et me pose une question concernant un fa dièse éditoriel (pièce 53, mesure 95, avant-dernière note) alors que cette altération est exclue par l'octave courte, dont la présence est attestée par bon nombre d'intervalles supérieurs à la dixième pour la main gauche. Par ailleurs, dans la pièce 55, corrigeant une erreur évidente en empruntant la solution à une version de la même chanson par Andrea Gabrieli, n'aurait-on pas dû en préciser la source? Dans cette pièce, on corrigera le mi, troisième note de l'alto, mesure 58, en do, et, mesure 73, la quatrième note du soprano, qui est sol, et non mi. La musique contenue dans ce fascicule est sensiblement plus accessible que celles des motets, surtout ceux à 5 et 6 voix. L'original vocal est très perceptible, mais on découvre de nombreuses jolies décorations instrumentales, à réutiliser dans l'une ou l'autre improvisation! Pour une raison qui m'échappe, ce volume, et le suivant (Madrigaux à 5 et 6 voix) utilisent des notes plus petites, donc moins confortables, que les autres. Trois fac-similés décorent des pages ou parties de pages: l'avertissement au lecteur (qui ne prend qu'une demi-page et laisse vide la place pour sa traduction, hélas absente), le début de la pièce 52, face à sa transcription; très bien!, et enfin le début de la pièce 55 , en dessous des dernières mesures de cette pièce, et face au début de la pièce 56: moins bien... | |
Date du commentaire | 04/02/2010 | |
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