Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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| Titre | Choralvorspiele op. 57, Vol. II | |
| Compositeur | Hoyer, Karl | |
| Opus | 57 |
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| Année de composition | 1934-36 | |
| Éditeur(s) scientifique(s) | Martin Weyer | |
| Éditeur | Bärenreiter | |
| Numéro d'édition | BA 9217 | |
| Année de l'édition | 2007 | |
| ISMN | M 006 53431 9 | |
| Site de l'éditeur | http://www.baerenreiter.com | |
| Nombre de pages | VIII + 45 dont 39 de musique | |
| Date de réception au M'O | 21/12/2007 | |
| Commentaire | Après la biographie de Karl Hoyer (P_3530), parlons maintenant de son œuvre. À en juger par le relevé des œuvres figurant dans l'article déjà cité de MGG, Hoyer a laissé environ 65 numéros d'opus, et quelque 24 pièces non numérotées. Citons d'abord une quinzaine de compositions pour chœur et sept mélodies avec divers accompagnements. Parmi les cinq pièces orchestrales se trouve un Concertino im alten Stil, op. 20, pour orgue et orchestre à cordes. Les 13 œuvres de musique de chambre impliquent souvent l'orgue dans l'accompagnement. Huit pièces pour piano et dix pour harmonium (instrument pour lequel il a également transcrit Bach, Liszt, Reger, Brahms et Händel) complètent le tableau, avant d'y ajouter la musique pour orgue, qui représente l'essentiel de sa production. Seize numéros d'opus sont consacrés à l'orgue, et six pièces (ainsi que plusieurs préludes de chorals sans opus) s'étalent de l'opus 17 à l'opus 64. S'affranchissant rapidement de l'influence de Reger, Hoyer écrit entre 1911 et 1925 des compositions aujourd'hui estampillées «Romantiques». Son écriture se modernise ensuite, sans toutefois dépasser réellement les limites de la musique tonale, les huit études pour pédale seule de l'opus 42 se limitant à fleurter avec l'atonalité. Dans les dernières pièces (les trois préludes et fugues, op. 61 et la sonate en trio, op. 64) se font sentir les influences de l'Orgelbewegung mais nous savons déjà par les modifications qu'il fit apporter à son instrument de la Nikolaikirche de Leipzig, que Hoyer y a été sensible. Dans son article de MGG,, Jörg Strodthoff cite en outre une Chaconne pour orgue et orchestre absente de la liste des compositions, mais jouée en 1935 par la Philharmonie de Berlin. Voyez la suite de la présentation de ces quatre volumes sous les références P_3591 et 3656. | |
| Date du commentaire | 21/02/2010 | |
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