Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
P_3481 () |
||
158 / 529 |
Navigation sur l'ensemble de la table « Partitions » Pas de recherche effectuée |
|
Titre | Toccata & Ricercari e canzoni | |
Compositeur | Quagliati, Paolo | |
Opus | ||
Année de composition | ||
Éditeur(s) scientifique(s) | Armando Carideo | |
Éditeur | Andromeda Editrice | |
Numéro d'édition | deest | |
Année de l'édition | 2000 | |
ISMN | 88-86728-72-7 | |
Site de l'éditeur | http://www.iosi.info/collana/collana.htm | |
Nombre de pages | 68 pages dont 65 de musique et 3 de fac-similé | |
Date de réception au M'O | 12/09/2005 | |
Commentaire | Reportez-vous à M’O 89-90/115 pour la présentation générale de cette série, et le commentaire des douze premiers volumes.
Jusqu’ici, quelques organistes érudits connaissaient une Toccata de Quagliati, celle publiée dès 1593 par Girolamo Diruta dans son célèbre Transilvano. J’aurais dû dire «la» Toccata, car cette première édition moderne de l’ensemble de son œuvre pour clavier (publiée à Rome en 1601, en partition, c’est-à-dire sur quatre portées, chacune avec sa propre clef…) nous présente 19 «Ricercari e canzoni». Le choix est laissé au lecteur d’attribuer à chaque pièce l’un ou l’autre titre, car elles ne portent toutes pour intitulé que leur numéro d’ordre en chiffres… romains, évidemment. Avant la parution de la présente édition, deux éditions récentes nous présentaient ce répertoire dans sa disposition originale, peu pratique pour les claviéristes. Dans le difficile problème des choix d’éditeur, au départ d’une partition, Armando Carideo a pris l’option de placer deux voix par portée du système moderne. Cela laisse à l’interprète le choix – souvent très personnel, il est vrai – du partage des voix entre les mains, avec l’inconvénient d’une écriture parfois un peu chargée en lignes supplémentaires. Le choix des ligatures des croches et doubles croches, au départ d’un original imprimé avec des caractères mobiles, tous séparés, est acceptable. Par contre, je n’aurais pas pris la décision de construire des mesures de quatre ou six brèves (soit huit ou douze noires) alors que les parties séparées ne comprennent aucune barre de mesure, comme on peut le constater sur les pages de fac-similé illustrant la partition. Tant qu’à faire, une division plus proche des usage actuels aurait sans doute facilité la lecture de nombreux musiciens. [M'O 91/57] | |
Date du commentaire | 30/06/2007 | |
Retour à la liste des partitions | ||