Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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Titre | Sämtliche Werke für Tasteninstrumente, Band 4. Lied-und Tanzvariationen | |
Compositeur | Sweelinck, Jan Pieterszoon | |
Opus | ||
Année de composition | ||
Éditeur(s) scientifique(s) | Pieter Dirksen | |
Éditeur | Breitkopf | |
Numéro d'édition | EB 8744 | |
Année de l'édition | 2004 | |
ISMN | M-004-18201-7 | |
Site de l'éditeur | http://www.breitkopf.com | |
Nombre de pages | 104, dont 79 de musique | |
Date de réception au M'O | 16/02/2005 | |
Commentaire | Au cas où vous n’avez pas déjà lu la présentation de l’édition Sweelinck proposée simultanément par Bärenreiter [P_2969], faites-le avant de lire ce commentaire! Chez Breitkopf, ce sont Pieter Dirksen et Harald Vogel qui se partagent le travail, ce dernier déjà auteur chez cet éditeur d’une édition de Samuel Scheidt (M’O 15/20, 63/60 et coup de cœur 77/53). Le premier paru des quatre volumes est le dernier, consacré par Dirksen aux variations sur des chansons et des danses, autrement dit, les variations profanes.
On pourrait gloser des heures durant sur les deux éditions rivales et contemporaines (et pourquoi oublier celle de VNM, dont le même Dirksen, il y a peu de temps, révisait le premier volume avec Gustav Leonhardt?). Comme je l’ai déjà dit plus haut, c’est vraiment quand nous pourrons comparer des volumes reprenant la même musique, que nous pourrons parler en connaissance de cause. Pour l’instant, comparons l’apparence des textes musicaux, élément d’appréciation important car le confort de lecture et celui du jeu (le problème des tournes de pages…) touchent tous les utilisateurs. Je donne ici la palme à Breitkopf, dont le texte est dégagé de toute intervention apparente de l’éditeur (évidemment, dans chaque édition, l’appareil critique est là pour cela). Les notes sont un peu plus grosses, et donc moins élégantes que chez Bärenreiter, mais cela rend le texte plus aisément lisible, de même que le choix d’un papier un peu moins translucide. Comme chez Bärenreiter, le texte introductif bilingue (D, GB) est fort dense. Chaque volume traitera d’un sujet précis: style de jeu, choix de l’instrument, registrations et, ici, notice biographique. En conclusion provisoire, sans déclarer un vainqueur du premier round, nous dirons que si vous aimez les partitions à l’italienne, ou la couleur bleue, ce sera Bärenreiter, si vous préférez le blanc et les partitions verticales, ce sera Breitkopf. Si vous êtes musicien avec des exigences musicologiques, ce sera cette dernière, et si vous êtes musicologue, sachant ou non jouer, ce sera la première! En attendant la suite du combat… [M'O 85/55] | |
Date du commentaire | 11/01/2010 | |
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