Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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| Titre | 52 leichte Präludien Für Orgel manualiter zu Melodien des EG | |
| Compositeur | Wolff, Sigrid | |
| Opus |
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| Année de composition | 2003 | |
| Éditeur(s) scientifique(s) | ||
| Éditeur | Dohr | |
| Numéro d'édition | 24169 | |
| Année de l'édition | 2005 | |
| ISMN | M-2020-1169-0 | |
| Site de l'éditeur | http://www.dohr.de | |
| Nombre de pages | 36 dont 33 de musique | |
| Date de réception au M'O | 21/08/2006 | |
| Commentaire | Un très petit texte en quatrième de couverture nous avertit: l'auteur, forte d'une dizaine d'années de service comme «nebenamtliche Organistin» (peut-on traduire: organiste non-professionnelle?) veut par ces 52 petits préludes, rendre service aux organistes qui officient en fonction secondaire (ici aussi le français ne permet pas de bien traduire: «Nebenamtler»...). La question est de savoir si l'aide ne devrait pas venir d'un organiste ou d'un compositeur professionnel. Les chorals portent les numéros du sacro-saint «EG» (Evangelisches Gesangbuch). 42 pièces sont écrites à deux voix, les dix autres utilisent une troisième voix (je n'écrirais pas «sont écrites à trois voix!»). La grande majorité (29) utilise des tonalités en bémols et seulement 12 utilisent des armures avec dièzes. Toutes ont tendance à se souvenir de la mélodie du choral, parfois d'assez loin. Elles font usage d'échelles tonales étranges, et ont généralement une carrure rythmique, disons: libre. Ceci me semble étrange, quand on pense aux qualités essentielles du choral: sa carrure, à la fois dans le domaine de la phrase, des rythmes et de la tonalité. On en arrive à se poser la question de la réelle compétence de l'auteur, et les deux chorals dans lesquels la main gauche descend en-dessous de la note grave du clavier apporte un début de réponse... | |
| Date du commentaire | 24/07/2011 | |
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