Détail d'un disque de la discothèque du M'O+
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| Titre du CD | Bach. Das Orgelbüchlein | |
| Interprète(s) | Cristina Garcia Banegas (UY) | |
| Éditeur | Perro Andaluz |
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| Numéro d'édition | 1080 | |
| Site de l'éditeur | http://deprofundis.org.uy | |
| Format audio | DD | |
| Date d'enregistrement | VIII 1995 | |
| Minutage total | [77:00] NB: pas de minutage des plages | |
| Date de réception au M'O | 07/07/2002 | |
| Livret | 32 pages (E, D, F, GB), composition, pas de registrations | |
| Orgue(s) et/ou instrument(s) | Lyon, FR, Conservatoire Supérieur, Salle Xavier Darasse | |
| Compositeur(s) | Johann Sebastian Bach | |
| Descriptif orgue(s) | Lyon, FR, Conservatoire Supérieur, Salle Xavier Darasse Grenzing (DE) 1992. III/37 | |
| Accord orgue(s) | 444 dans l'échelle de La Rasette  | |
| Programme | Johann Sebastian Bach 1-45. Orgelbüchlein BWV 599-644 | |
| Commentaire | Vous pourrez ici vraiment apprécier les mérites de l'orgue Grenzing du Conservatoire National Supérieur de Lyon. Heureux étudiants et heureux professeur, qui disposent d'on outil d'une telle qualité! Gerhard Grenzing a parfaitement maîtrisé le problème essentiel que lui posait cet auditorium de 120 places, ancien amphithéâtre de l'école vétérinaire de la ville: l'orgue remplit l'espace sans l'envahir et on ne souffre guère du relatif manque d'acoustique (quoique le bruit du ventilateur soit trop sensible dans les silences entre les pièces). Illustrer cet orgue «d'école» par les 45 chorals de l'Orgelbüchlein,?uvre dont tous les pédagogues connaissent la valeur exemplaire, est une idée plaisante. Piégés par leur programme, les producteurs ont été obligés d'enchaîner d'un peu près les chorals de ce CD vraiment compact (77 minutes), alors que deux secondes supplémentaires entre les 45 plages (soit... 1'30" de silence) auraient été nécessaires... mais la technique a encore de limites! Chaque nouvel enregistrement de cette rivière de perles me convainc davantage qu'il vaut mieux les porter en bracelet qu'autour du cou: chacun est un prodige d'écriture mais l'audition de l'ensemble, que Bach n'aurait jamais imaginée, induit immanquablement une saturation, une regrettable fatigue. Même si l'interprète, comme c'est le cas de Cristina Banegas, varie autant les registrations que son jeu, pour répondre au mieux aux Affekte voulus par le compositeur. J'aime ces interprétations vivantes, souvent vives et vivifiantes (mais trop de vie tue...). [M'O 37/05] | |
| Date du commentaire | 03/03/2010 | |
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