Détail d'un disque de la discothèque du M'O+
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CD_3462 () |
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Titre du CD | Matthias Weckmann. Sämtliche Klavierwerke | |
Interprète(s) | Siebe Henstra (NL) | |
Éditeur | Ricercar | |
Numéro d'édition | 206682 | |
Site de l'éditeur | http://www.ricercar.be | |
Format audio | DDD | |
Date d'enregistrement | III 1998 | |
Minutage total | 51:56 | |
Date de réception au M'O | 13/10/1999 | |
Livret | 16 pages (F, GB, D); ceci n'est pas de l'orgue | |
Orgue(s) et/ou instrument(s) | Clavecin Titus Crijnen (NL) 1992/Johannes Ruckers 1638 (1, 8-11) Clavecin Émile Jobin (FR) 1979/italien XVIIe (2-4, 15-18) Clavicorde lié Kather (DE) 1999/MIM Bruxelles (5-7, 12-14) |
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Compositeur(s) | Matthias Weckmann | |
Descriptif orgue(s) | Clavecin Titus Crijnen (NL) 1992/Johannes Ruckers 1638 (1, 8-11) Clavecin Émile Jobin (FR) 1979/italien XVIIe (2-4, 15-18) Clavicorde lié Kather (DE) 1999/MIM Bruxelles (5-7, 12-14) | |
Accord orgue(s) | Ceci n'est point de l'orgue… et n'est donc pas appréciable dans l'échelle de La Rasette | |
Programme | Matthias Weckmann 1. [Partita] [III] 2. Toccata 3. Canzon (III) 4. Toccata (II) 5. Toccata vel præludium (I) 6. [Partita] [I] 7. Lucidor, einst hüt't der Schaf 8. Toccata (III) 9. [Partita] [IV] 10. Canzon (V) 11. [Partita] [II] 12. Canzon (IV) 13. [Partita] [V] 14. [Partita] [VI] Die Lieblichen Blicke 15. Toccata (V) 16. Canzon (IV) 17. Canzon (II) 18. Toccata (IV) | |
Commentaire | Complétant le coffret IX des «Deutsche Barock Kantaten» du même éditeur, voici l'œuvre pour clavier (entendez: l'œuvre «pas pour orgue») d'un des plus grands maîtres de l'orgue allemands avant le plus grand. Si vous ne connaissiez pas cette musique géniale, voici de quoi réparer une grave lacune. Et si vous la connaissiez, voici de quoi renouveler votre appréciation. Sous les doigts de Siebe Henstra, clavecins et clavicorde, subtilement associés aux œuvres qui leur conviennent le mieux, prennent un élan, une vie incomparables. Cet interprète à une faculté étonnante de toujours renouveler son jeu, de surprendre, non par des effets faciles ou gratuits, mais bien par l'évidence de ses choix dont on se dit toujours: «c'est évident, comment n'y avais-je pas songé moi-même?». La virtuosité, en ce XVIIe siècle ne consistait pas à jouer beaucoup de notes très vite, mais bien à donner à la musique une vie, une expression, des passions écrites entre les notes. Henstra l'a bien compris, et vous le fera comprendre. [M'O 59/21] | |
Date du commentaire | 28/01/2010 | |
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