Détail d'un disque de la discothèque du M'O+
|
|
CD_4144 ( |
 |
80 / 1024 |
Navigation sur l'ensemble de la discothèque, pas de recherche effectuée Les mentions soulignées indiquent les inédits dans les banques de données du M'O au moment de la rédaction |
|
| Titre du CD | Magic! | |
| Interprète(s) | Peter Richard Conte (US) | |
| Éditeur | Gothic |
 |
| Numéro d'édition | 49248 | |
| Site de l'éditeur | www.gothicrecords.com | |
| Format audio | 24 bit Technology | |
| Date d'enregistrement | 19 V - 12 VI 2001 | |
| Minutage total | 78:06 | |
| Date de réception au M'O | 13/04/2006 | |
| Livret | 20 pages (GB); photo(s) de l'instrument: 1 C, 5 NB, pas de composition, pas de registrations | |
| Orgue(s) et/ou instrument(s) | Philadelphia (US), Wanamaker Store | |
| Compositeur(s) | Modest Mussorgsky, Richard Wagner, Paul Dukas, Otto Nicolai, Edward Elgar | |
| Descriptif orgue(s) | Philadelphia (US), John Wanamaker Store Murray M. Harris + Los Angeles Art Organ Company (US) 1911. VI/399 | |
| Accord orgue(s) | 444 dans l'échelle de La Rasette  | |
| Programme | 01. Modest Mussorgski: Nuit sur le Mont chauve (transcription Conte) 02. Richard Wagner: The Walkyries: Wotan's Farewell and Magic Fire Music (transcription Lemare, ed. Conte) 03. Paul Dukas: L'apprenti sorcier (transcription Conte) 04. Otto Nicolai: Ouverture to The Merry Wives of Windsor (transcription Conte) 05. Edward Elgar: London Town: Cockaigne Overture (transcription Conte) 06. Edward Elgar: Nimrod (from Enigma Variations, transcription Harris) | |
| Commentaire | Le titre m'avait fait craindre quelque chose dans le genre du CD diabolique ci-dessus (CD_4148).
Tout du contraire: le mot «magique» est celui qui s'impose, à l'écoute de ces six transcriptions du grand répertoire symphonique, jouées sur l'orgue qui, au monde, est sans doute le plus orchestral de tous (nous en parlions dans M'O 87/31, CD_4149), quand son titulaire jouait un programme plus organistique, et moins remarquable). Entendez-moi bien, ce n'est pas la magie de L'Apprenti sorcier qui m'émerveille (quoique cette plage en particulier soit remarquable, voire, je pèse le mot: prodigieuse, dans certaines sonorités), mais plutôt la formidable richesse de cet instrument, et surtout l'à-propos de son utilisation par son titulaire qui s'interdit tout effet appuyé, toute vulgarité, tout appel du pied. Il y a ici beaucoup de cloches, carillons et clochettes, mais point trop. Peut-être, affaire de goût, tout juste un peu trop de ces registres ondulants qui font penser à un Hammond (pas orgue!). Pas mon type d'orgue, mais simplement éblouissant! [M'O 89-90/58] | |
| Date du commentaire | 13/11/2013 | |
 Retour à la liste des disques |
||
)