Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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Titre | Der Zauberlehrling (L'apprenti sorcier) | |
Compositeur | Dukas, Paul | |
Opus | ||
Année de composition | 1897 | |
Éditeur(s) scientifique(s) | Heinrich E. Grimm | |
Éditeur | Butz | |
Numéro d'édition | 2074 | |
Année de l'édition | 2007 | |
ISMN | deest | |
Site de l'éditeur | http://www.butz-verlag.de | |
Nombre de pages | 48 dont 43 de musique | |
Date de réception au M'O | 10/03/2008 | |
Commentaire | Reportez-vous à P_3788, pour les autres transcriptions par Heinrich E. Grimm chez le même éditeur. On ne pourra pas accuser Heinrich Grimm de mal choisir ses sujets: les Quatre Saisons, Une petite musique de nuit, Pierre et le loup et l'Apprenti sorcier comptent indubitablement parmi les plus célèbres «tubes» du répertoire symphonique. Les paris sont ouverts sur son prochain titre: osera-t-il s'attaquer au Boléro de Ravel, sachant que celui-ci a déjà fait l'objet d'une transcription par son collègue Klaus Uwe Ludwig (P_3691)? La lecture de cette partition, et son audition (car Peter Richard Conte, l'organiste du Wanamaker Store de Philadelphie l'a transcrite lui-même et enregistrée sur son orgue monumental, ce qui lui valut un coup de cœur: CD_4144) m'ont fait remarquer les ressemblances entre ces deux partitions, basées sur un unique et obsédant motif. La grande différence étant qu'il n'y a qu'une modulation chez Ravel, tandis que Dukas nous fait passer par toutes les couleurs du cycle des quintes... Cette partition est réservée à un genre d'organistes très anglo-saxons, virtuoses de salles de concerts, et à leur public avide de hit-parades et d'effets stéréophoniques en technicolor. Les registrations préconisées sont-elles bien utiles? Il est évident que les organistes capables de monter cette large fresque orchestrale savent comment utiliser les couleurs de leurs grands instruments. Pour ma part, je n'aurais pas vu d'un mauvais œil l'inscription en petits caractères de l'orchestration, qui aurait renseigné l'interprète sur le genre de couleur à rechercher. Le volume est précédé d'une introduction bilingue, allemand et anglais, et suivi du texte original de la ballade de Goethe qui a inspiré Paul Dukas. | |
Date du commentaire | 14/11/2013 | |
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