Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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| Titre | Phoenix | |
| Compositeur | Marie-Bernadette Dufourcet | |
| Opus |
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| Année de composition | ||
| Éditeur(s) scientifique(s) | ||
| Éditeur | Combre | |
| Numéro d'édition | C06768 | |
| Année de l'édition | 2014 | |
| ISMN | 979-0-2303-6768-4 | |
| Site de l'éditeur | http://www.editions-combre.com | |
| Nombre de pages | 8 (5) | |
| Date de réception au M'O | 24/03/2014 | |
| Commentaire | À part la dédicace («to Stefan Engels, with gratitude»), cette partition ne vous apprend rien de cette ?vre: de quand date-t-elle, à quelle occasion a-t-elle été écrite, dédicacée, créée? On a bien utilisé la quatrième de couverture pour donner la biographie de la compositrice, mais les deux versos (y a-t-il un pluriel à ce mot?) de la couverture sont laissés vierges, de même que deux des huit pages intérieures, que l'on aurait sans doute pu utiliser pour graver la musique un peu plus largement, et surtout en essayant de ménager des tournes praticables (au moins un d'entre elles aurait pu être évitée). Puisque nous parlons du texte, je me suis demandé à plusieurs reprises sur quel clavier jouer. Non seulement les indications sont écrites en fort petits caractères, mais encore, à quelques endroits, l'interprète se prend à douter, par manque d'indications, fussent-elles même redondantes. Un autre problème rencontré est d'ordre rythmiques: l'absence de tout signe de mesure, conjugué à une distribution irrégulière de barres de mesures, induisent quelques hésitations. Sans doute faut-il jouer l'ensemble «à doubles croches constantes»? Mais cela n'aurait guère coûté cher de le dire! On connaissait Bernadette Doufourcet comme musicologue et comme interprète. Et seuls les fanatiques du M'O se souviendront d'avoir lu (M'O imprimé 41/18, 1997) la mention d'un autre composition qu'elle signa: Vent oblique. On sait également qu'elle est «dans le civil» Madame Naji Hakim. Ceux qui ne le savaient pas découvriront peut-être dans cette assez brève pièce à effet (un bon final de récital) plus qu'un cousinage entre le style des deux époux. De fait, je pense bien que si l'on m'avait montré cette partition sans m'en donner le nom de l'auteur, j'aurais peut-être bien tenté le nom de l'organiste de La Trinité à cause de ces effets rythmiques fort marqués et un rien répétitifs, de ces agglomérats d'harmonies dissonantes, qui souvent sont sa signature. | |
| Date du commentaire | 03/05/2015 | |
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