Détail d'une partition de la partithèque du M'O+
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| Titre | A Vaughan Williams Organ Anthology | |
| Compositeur | Vaughan Williams | |
| Opus |
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| Année de composition | ||
| Éditeur(s) scientifique(s) | Henry G. Ley | |
| Éditeur | Stainer & Bell | |
| Numéro d'édition | H482 | |
| Année de l'édition | 2013 | |
| ISMN | 979-0-2202-2382-2 | |
| Site de l'éditeur | http://www.stainer.co.uk | |
| Nombre de pages | 28 (26) | |
| Date de réception au M'O | 20/01/2014 | |
| Commentaire | Étrange: le nom de Ralph Vaughan Williams, pourtant bien connu, ne figurait jusqu'ici dans la partithèque du M'O que pour une pièce figurant dans une anthologie (voyez P_3608). De fait, ce célèbre compositeur anglais (1872-1958) est beaucoup plus connu pour ses six opéras, ses neuf symphonies, sa musique de chambre et ses pièces chorales que pour les cinq opus consacrés à notre instrument (une recherche dans la banque de données du M'O+ donne précisément le même nombre de citations). Le répertoire ici réuni pour la première fois en un seul volume consiste en quatre transcriptions d'extraits symphoniques, dont le copyright date de 1922, précédemment édités séparément. Il s'agit de: A Sea Symphony: Largo sostenuto; A London Symphony: slow movement; Phantasy Quintet: Alla Sarabanda et Five Mystical Songs: Antiphon. Ces versions pour orgue sont de Henry G. Ley, organiste de la Christ Church Cathedral d'Oxford qui, bien qu'affligé d'un pied-bot, était surnommé par l'un de ses collègues «le Paderewski de l'orgue». De fait, si j'ose dire, manchots s'abstenir! Ces quatre pièces (sauf la troisième, sans doute, assez courte et moins dense) font en effet appel à un grand instrument de type «orgue de cathédrale anglaise» à utiliser comme le font avec un naturel éblouissant les organistes, anglais eux aussi, que l'on peut entendre et voir sur la série de videos Priory: changements de registrations innombrables, jeu simultané sur trois claviers, etc., sont monnaie courante. L'orgue nécessaire est un grand instrument d'au moins trois claviers, dont la composition est très insulaire (chœur de gambes, tuba à haute pression et tutti quanti) et les indications de registrations laissent peu de place à la fantaisie. La musique, elle aussi, m'a semblé très «British», et on sent bien, surtout dans la quatrième pièce, qu'on a affaire à des compositions conçues à l'origine pour l'orchestre. Mais le compositeur, nous dit-on, avait personnellement encouragé Ley dans son entreprise. Une partition utile donc, pour les organistes soucieux de faire connaître Ralph Vaughan Williams. | |
| Date du commentaire | 21/01/2014 | |
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