Détail d'un disque de la discothèque du M'O+
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CD_4145 () |
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Titre du CD | Louis Robilliard à l'orgue Cavaillé-Coll de Saint-François-de-Sales à Lyon | |
Interprète(s) | Louis Robilliard (FR) | |
Éditeur | Festivo | |
Numéro d'édition | 138 | |
Site de l'éditeur | http://www.festivo.nl | |
Format audio | DDD | |
Date d'enregistrement | VIII 1994 | |
Minutage total | [64:38] | |
Date de réception au M'O | 08/04/1995 | |
Livret | 24 pages (F, GB, NL); photo(s) de l'instrument: 1 C, composition, pas de registrations | |
Orgue(s) et/ou instrument(s) | Lyon, Saint-François-de-Sales | |
Compositeur(s) | Robert Schumann, Franz Liszt, Camille Saint-Saëns, Max Reger, Johannes Brahms | |
Descriptif orgue(s) | Lyon (FR), Saint-François-de-Sales Cavaillé-Coll (FR) 1879. III/45 | |
Accord orgue(s) | 334 dans l'échelle de La Rasette | |
Programme | 01. Robert Schumann: Esquisse op. 58/3 02. Robert Schumann: Etude en forme de canon op. 56/4 03. Franz Liszt: Orpheus. Poème symphonique (transcription Robilliard) 04. Camille Saint-Saëns: Danse macabre (transcription Robilliard) 05. Max Reger: Benedictus op. 59/9 06. Max Reger: Fantasie über Wachet auf! ruft uns die Stimme op. 52/2 07. Johannes Brahms: O Welt, ich muß dich lassen op. 122/3 08. Johannes Brahms: Herzlich tut mich erfreuen op. 122/4 09. Johannes Brahms: Herzlich tut mich verlangen op. 122/9 10. Johannes Brahms: Herzlich tut mich verlangen op. 122/10 | |
Commentaire | Peut-on banaliser la perfection? Je vous renvoie au commentaire du CD Festivo 125, enregistré par Louis Robilliard à son orgue en 1992 (voir CD_4146)dont tous les termes s'appliquent sans réserve à ce nouveau disque. On retrouve ici la maîtrise de l'instrument, de la registration, de la pâte sonore, de l'expression, de la dynamique, des tempi, de la tension, de la construction... Les deux transcriptions sont parfaites et les auditeurs doués d'un minimum de chauvinisme organistique trouveront quelques couleurs de l'orgue encore supérieures à celle de l'orchestre. Reger sonne décidément mieux sur un Cavaillé-Coll que Widor sur un Sauer ou un Walcker mais c'est plus au talent de Robilliard qu'à l'instrument qu'on doit l'incroyable transparence dans la densité du Wachet auf de Reger, dont voici la version de référence. [M'O 20/13] | |
Date du commentaire | 10/11/2013 | |
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