Détail d'un disque de la discothèque du M'O+
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| Titre du CD | Set Me As A Seal Upon Your Heart | |
| Interprète(s) | Naji Hahim (LB) & Rima Tawil, soprano (11, 15, 17, 18) Jean-Philippe Kuzma, violon (12-14, 16) Quatuor de la Chapelle Royale (1-10, 16) |
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| Éditeur | signum |
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| Numéro d'édition | 245 | |
| Site de l'éditeur | http://www.signumrecords.com | |
| Format audio | DDD 24 bit | |
| Date d'enregistrement | VI, XII 2009, I 2010 | |
| Minutage total | 56:28 | |
| Date de réception au M'O | 12/09/2011 | |
| Livret | 20 pages (GB), composition, pas de registrations | |
| Orgue(s) et/ou instrument(s) | Paris, FR, American Church | |
| Compositeur(s) | Naji Hakim | |
| Descriptif orgue(s) | Paris, FR, American Church von Beckerath (DE). III/47 | |
| Accord orgue(s) | 544 dans l'échelle de La Rasette  | |
| Programme | Naji Hahim 1. Påskeblomst 2. Magnificat 3. Variations on Wie schön leucthet der Morgenstern 4. Set Me As A Seal Upon Your Heart 5. Capriccio 6. Amazing Grace 7. Die Taube | |
| Commentaire | Naji Hakim est l'un des organistes les plus prolifiques de notre temps. Qui plus est, il réussit généralement à faire éditer presque tout ce qu'il compose, et à le faire enregistrer dans la foulée, à moins que la partition ne suive l'enregistrement. Il suffit de visiter son site pour s'en rendre compte et constater que, si deux des partitions ici enregistrées entrent dans la «partithèque» du M'O+ (P_3507 et P_3707), le Capriccio, chez UMP, Set Me As A Seal Upon Your Heart et Die Taube et les variations sur Wie schön leuchtet der Morgenstern, chez Schott (partitions non reçues au M'O+) sont également d'ores et déjà accessibles en partitions. La première œuvre enregistrée ici justifierait le sigle «ceci n'est point de l'orgue». Quoique dans ces pages pour quatuor à cordes, l'on sente fort la patte de l'organiste. Peut-être est-ce le fait que la forme des variations sur un chant d'église (ici un chant de Pâques danois, dont la mélodie remonte à Carl Nielsen) est dans la plupart des cas associée à la musique des organiste, et n'est que fort rarement confiée à un autre instrument. Pour apprécier le Magnificat chanté par la soprano Rima Tawil, il faut aimer le bel canto, l'ampleur de la voix (et du vibrato) et le dramatisme exagéré qui le caractérisent. Ce n'est point mon cas... J'ai réécouté deux des plages chantées, partition en mains, et ne puis hélas que confirmer, découvrant en outre que la soprano généralise d'une façon presque absolue son habitude de chanter chaque note en retard, et en la prenant par en-dessous. La même lecture de la partition me permet de mesurer que le compositeur n'est pas opposé à une lecture approchée de certains passages à première vue un peu compliqués (par exemple le solo pour orgue du milieu de Amazing Grace. Dans les variations pour violon et orgue qui suivent, on apprécie l'un des traits qui justifient sans doute le succès de la musique de Hakim: son caractère gai, sautillant, dansant et ses harmonies confortables, dont les excès les plus marqués font penser à un jazz très... classique. L'on retrouvera ce traits de caractère dans le Capriccio assez humoristique et très enlevé. | |
| Date du commentaire | 25/09/2011 | |
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